Révélation choc [Samuella]

Une journée comme les autres commencait. Enfin, une journée que je croyais comme les autres. Je m'était lever, comme a n'importe quel autre matin de l'école. Je pensai a m'habiller, mais préférant rester en pyjama le plus longtemps possible, je me dit que je pourrai prendre mon petit-déjeuner avant. Je me mit donc deux tranche de pain dans le grille pain et a attendant que cela cuisent, je m'affalai sur le divant et allumai la télévision.

Puis, je pri mon petit-déjeuner et conclu que le temps de quitter le comfort de mon pyjama était arriver. Je me dirigeai vers ma chambre et ensuite vers ma commode. J'optai pour une paire de jean et un simple tee-shirt bleu électrique. Je remassai mes livres de cours qui traînaient un peu partout dans mon appartement. Je les mis en pagaille dans mon sac-a-dos et tirai ce dernier près de la porte. Je remis mon ordinateur portable dans son étuit. Il me restait une heure avant de partir. Je remarquai que mon réveille matin avait une heure d'avance.

Ne sachant pas trop a quoi occuper mon temps, je sortit mon portable et regardai l'heure, il était sept heure quinze minute. Théoriquement, je ne le prenais que dans vingt minutes, mais je décidai de le prendre immédiatement. Je me dirigeai vers la salle de bain. Je peignai au passage très brièvement mes cheveux. Je prit le pot contenant les médicaments ayant le même taille qu'un dix sous. J'en sortit une et la mit sur le bord de mon évier. Je regardai la prescription;

M. Jackson Kingsler
Dr. Hendil Surresh
Prendre un comprimer le matin 1h00 après lever et 1h00 avant le coucher.

Je regardai mes yeux déparailler. Je partit pour prendre mon comrpimé, mais je vit des yeux étonné et paniqué. Ces yeux était ceux de Samuella. Je n'avais pas dit a ma meilleure amie que j'était malade, remettant toujours ce moment a plus tard...Apparement, je lui disait ce matin et je ne pouvait pas me défiler. Je dut avouer que mes médicaments pouvaient facilement ce comparer a de la drogue. Croirait-elle que je me drogue ? Avant que j'ai pu placer un mot, elle paniqua. Je la fixai calmement de mes yeux déparailler.

J'aurais parier un million qu'elle paniquerais. Je la laissai se calmer. Mais comme je le pensais...Ça panique ne fit qu'empirer.

Mais qu'est-ce que tu fous ?!?

Écoute Sami' ce n'est vraiment, mais là, vraiment pas ce que tu crois.

Je mit le comprimer dans ma bouche et avalai un gorgée d'eau pour le faire passé. Ce truc laissait vraiment un arrière goût immonde dans la bouche. Je reposait le verre sur le coin de l'évier et reposai mon regard déparailler sur le petit bocal contenant mes médicaments.

C'est peut-être le temps que je te le dise... chuchotai-je un peu plus pour moi-même.

Je me dirigeai vers le bain et m'asseya sur le rebord. Comment lui dire sans faire un grosse histoire et un choc de la mort. Il faut déjà oublier le "Je suis malade et sa peu me tuer a tout moment" et le "J'vais mourrire si je le prend pas". J'optai pour le chemin long. Je regardai de nouveau la prescription puis Samuella. Je lui tendit le bocal.

Regarde...Je te jure que ce n'est pas de la drogue...C'est une prescription...De mon médecin.

Je remarquai son regard interrogateur. Comment lui expliquer. De plus, je n'avais jamais pris l'habitude de parler autant en moin d'une minute. Habituellement, je disait autant de mot en trois heures.

Tu vois ça dis-je en pointant mes yeux ayant une couleur différente. Bien...Je suis atteint de quelques chose...D'une maladie en fait...Tu ne doit pas le répéter, surtout pas a Ashley. Elle n'est pas encore au courant.

Je savais que Ashley et Sami' ne s'entendait pas super bien, en faite, pas du tout. L'une est jalouse de l'autre. Bien que je trouve cela stupide, j'ai toujours une petite lueur d'espoire qui brûle qu'un jour elles s'entendraient.

Je regardai Samuella attendant une raction quelconques de sa part, espérent qu'elle le prendrait bien.

Samuella le pris comme je le craignait. Pas super bien. Je me doutai bien que ça ne se passerais pas comme je le voulais, ma mère m'avait dit que l'annoncer était quelque chose, mais que l'apprendre était bien pire. Je ne croyais pas cela jusqu'as maintenant.

Mais... mais...

Je la laissai prendre le choc avant de dire quoi que se soit d'autre. Qu'aurais-je pu dire de toute manière. La voir ainsi me déstabilisait un peu je vais avouer. Elle qui habituellement souriait et riait de sa maladresse était maintenant recroqueviller par terre et des larmes coulaient le long de ses joues. J'avoue aussi que je suis plutôt sensible aux larmes de filles seulement. Bref... Elle fini par relever la tête, j'avais toujours mes yeux déparailler fixer sur elle.

Je veux pas que tu meurs !

Sur ce elle se rua vers moi, me prit dans ses bras et j'en fit de même. Elle recommença a pleurer, je lui frottai le dos essayant n'étant pas trop sur du résultat, de la consoler. Si ça n,aurait pas été de mon entraînement, j'aurais certainement suffoquer sur place.

Je n'ais pas dit que j'allais mourrire et les chances que sa arrive son faible Sami' crois-moi. Je n'ai rien de grave. Ne t'inquiète pas. On va ignorer ce truc et tout redeviendras comme avant. D'accord ?

Les chances étaient peut-être plus élever que ce dont j'avais dit, mais bon. Elle n'est pas obliger de savoir ce détail. Au moin ça me feras une personne de moin a ruminer de lui cacher cela. Me restait plus qu'une a informer. Ashley. Je me dit que ce moment pourrait être plus tard...Beaucoup plus tard de préférence. Bref... Je serrai toujours Samuella dans mes bras attendant qu'elle se calme un peu et qu'elle cesse de tremblay.

Tu es tous mouillé maintenant, je suis tellement empoté ! Je t'ai trempé ...

J'eu un petit sourire en coin. Je regardai mon chandail, effectivement, il était tremper. Je sourit de nouveau.

T'inquiète pas, j'en ai tout plein ma commode.

Nous restâmes ainsi encore un petit moment puis elle finit par s'éloigner. Je la regardai. Elle semblait s'être calmer. Du moin elle ne pleurait plus. A court de larmes j'imagine, elles étaient probablement toutes aspirer par les fibres de mon chandail. Puis elle enchaina.

J'espere que ... tu... tu ne me mens ... pas ...
Elle se forca pour avoir un rire plus nerveux que franc.

Je ne veux pas que ... tu me mens sur ce sujet... jamais ...

Je te jure que je ne te ments pas, je t'ais dit ce que tu as besoin de savoir pour le moment. On reparleras du reste lorsque je suis sure que tu ne risqueras plus de perdre connaissance d'accord ?

Effectivement, j'avais craint qu'elle tombe dans les pommes. Par chance, non. Elle était, au sens figurer, rester sur ses deux pieds.
Je me dirigeai vers ma chambre question de me changer de chandail. Je sortit un chandail jaune, plutôt dur a rater au premier coup d'oeil. J'enlevai l'autre et le tirai dans la malle a linge de vêtements sale. J'enfilai le jaune.
Vien, dis-je a Samuella en me dirigean vers le salon. Je regardai rapidement l'heure accrocher au mut, il nous restait un peu plus de cinquente minutes devant nous.
Sinon, tu ne t'es pas blesser en venant jusqu'ici ?
Je la regardai avec un petit sourire narquois, bien que ma tentative pour changer de sujet sois vraiment plate.

J'écoutai attentivement Samuella me raconter ses mésaventures du jours. Je fut content que le choc de mon annonce ait passé aussi vite. C'était impressionnant comment cette fille pouvait passé d'un sujet a l'autre. Qui étais-je pour me plaindre ?

Bien, j'ai fahi me tuer. J'ai comme, tombé, dans les escalier de mon appartement, j'ai débouler, JUSQU'EN BAS. J'avais mal au fesse, j'ai toujours mal d'ailleurs. C'est souffrant, tu sais ? Bien sur que non ! Tu ne tombes jamais, toi, le géant ! La chute serai bien trop grande, incroyable, EFFRAYANTE !

J'hochai la tête aux moments opportuns. Je décidai que j'avais prononcer ma dose de mots pour la journée. C'était effrayant le nombre de fois que pouvait tomber Samuella en moin de dix minutes. Effectivement, je tombai très rarement, la dernière fois remonte ... À ... La fois ou Layne m'avait fait un croche pied lors d'un cours d'éducation physique, mais je n'était pas vraiment tomber ... J'avais seulement perdu l'équilibre, seul mes mains avaient toucher le sol. Je m'était d'ailleurs vanger en lui filant les mauvaise réponse d'un contrôle de math. Il avait complètement planter cette examens ... Je crois qu'il avait eu quinze pour cent ou un truc dans ce genre là. Bref, lorsque Samuella fut pris d'un fou rire je sourit a mon tour. Elle continua son récit ;

J'ai aussi tombé en sortant du lit. C'était une chute attrosse, une chance que tu n'étais pas la pour voir ça ! C'était horrible, je me suis erraflé le coude sur ma table a chevet ! Sa saignait, merde ! J'ai comme une grosse gale dégueuse maintenant, c'est vraiment pas beau !


J'écoutai attentivement cette histoire a dormir debout. Il y avait vraiment juste elle pour se faire une blessure de la sorte en dormant ! Je fit une petite grimace lorsqu'elle me montra la croûte qui s'était former sur sa blessure.

Et aussi, j'ai tombé dans la salle de bain. J'ai croiser la cuvette au passage. Je suis allé me laver, j'ai glissé dans la douche. Là, j'ai eu peur, c'était effrayant. J'croyais que j'allais mourrire sur place ! Et non, il m'en faut beaucoup plus visiblement ! AHAH! Petit tapom de bain, jamais il ne me tura, AH !

Elle riait toujours, je joint un sourire a ses rires. Cette file était vraiment marrante et une vrai pie mais bon. C'est comme ça ! Elle elle parle et moi j'écoute. C'est a ça que je sert en tant que meilleur ami non ?

Il n'y a que toi pour te blesser autant de fois en moin de trente minutes. Apparement rien ne viendras a bout de toi.

J'esquissai un petit sourire narquois.

Il n'y a pas que moi !

Effectivement, il n'y avait pas seulement elle. Mais elle se faisait facilement reconnaitre pour sa maladresse. C'est ce qui faisait son charme. Elle se serait d'ailleurs probablement cassé la figure plusieurs fois si ça n'aurait pas été du fait que je la ratrappe. Il y avait aussi en éducation physique. Les capitaine se battaient pour ne pas l'avoir dans leur équipe. Seul moi la prend en premier. Après tout, elle n'est peut-être pas un athlète olympique mais elle a un bon esprit d'équipe.

Mais c'est pas tous tu-sais ! Mais oui tu le sais, être tombé seulement 5 fois en autant de temps, c'est pas normal.

Elle avait de nouveau raison. Habituellement en trente minute elle a eu le tmeps de tomber une bonne dizaine de fois, elle s'améliorait. Enfin je crois. Étonnement cette fille n'avait jamais aucune blessure, ni lésion, pas même un bleu ! Je crois que la seul fois qu'elle s'en était fait un, c'était une débarque qu'elle avait pris dans les marches. Encore là, elle fut bien chanceuse de s'en sortir avec un simple petit bleu.

Eumm, je peux avoir quelque chose a boire ?

Je sourit.

Bien sur dis-je simplement.

Elle parlait comme une vraie petite pie, elle pouvait bien avoir soif. C'était bon signe. Quand elle ne parle pas c'est que quelque ne vas pas. Je me levai et me dirigeai vers la cuisine. Je sortit un jus d'orange fraîchement fait et en mit dans un verre. Je retournai vers le salon et lui tendit.

Tien, dis-je encore une fois, simplement.

Elle avait rougi. Depuis quand rougissait-elle devant moi ?

Tu commence en quoi ? Demandais-je en référance a l'école.

Euhhhhh... Je crois que... euhhh... Je vais en français. Et toi ?

Je ne savais pas vraiment mon horaire par coeur. je je n'avais aucunement l'intention de l'apprendre. De toute façon la mémoire pour c'est truc la c'est pas mon fort. Je me fit donc a Samuella. Lorsqu'elle a du Francais alors moi J'ai de l'anglais, quand elle a de l'anglais j'ai des math, quand elle a géo alors moi J'ai histoire et vice versa. Pour l'espagnol et tout le reste, nous sommes dans le même groupe donc...

Je commence en Anglais apparement. dis-je simplement.

Puis je partit dans mes pensée, Samuella sembla en faire autant. Je pensai a Blake, le truc qui me sert de petit frère et qui prend un malin plaisir a me pourrir la vie. Puis ça dévia vers Layne. Ce stupide petit frimeur a la noix ! Il serais prêt a tout pour qu'Ashley l'aime. Je doit me considéré comme énormément chanceux d'être celui qu'elle porte dans son coeur. Puis j'entendit Samuella parler.

Bruno, mon beau Bruno.

Quoi ? Elle a flasher sur Bruno ? Le québécois avec un accent que personne ne comprend. Celui qui a tout le temps cent pour cent en français ? D'une certaine manière c'était normal puisque c'était sa langue maternelle. Voyant que je la dévisageait Samuella "paniqua".

Euhhh, non rien, laisse faire...

Trop tard ! Elle venait de piquer a vif ma curiosité. Elle a flasher sur le meilleur ami de son frère.

Oh non ! Allé raconte ! dis-je sachant qu'elle ne me disait jamais non.

Elle rougit de nouveau. Je sourit devant ses couleurs. Venait-elle de prendre un habitude de rougir ? J'attendait toujours patiement sa réponse.

Définitvement Samuella est une vraie pie. Son récit était long, mais j'avais l'habitude dfe la comprendre malgré ses propos parfois étrenges.

Bahh, un jour je marchait tous bêtement dans les corridors en me concentrant sur mes pas plutôt que sur ce qui m'entoure. Et au même momment ou j'ai levé la tête, il était là ! Je n'avais jamais remarqué quoique ce soit du genre. Il était pourtant irresistible cette journée là ! D'habitude, je le voyais avec mon frère, ne me concentrant pas trop sur lui parce que mon frère m'énervait. Mais, cette fois-ci, je le regardait intensément. Puis, je me rapella de son accent, tous a fait craquand si tu veux mon avis ! Il m'a instentannément frapper dans l'eoil. Il était si mignon, AHHH!!! J'ai complêtement craqué ! Jacks, c'est horrible, je ne peux pas ! Maintenant, quand je le vois, je fais toutes les gaffes innimaginables ! C'est la honte, la honte je te dis !

Je du avouer que c'était son style de se prendre quelque chose en pleine tête simplement en regardant une garçon. Bruno faisait partit de mon petit cercle d'amis. Son drôle d'accent faisait de lui quelqu'un de dur a comprendre pour un anglais de naissance. Nous nous étions tout de même très vite habituer a cette manière de parler.

Aide-moi Jacks, j't'en prit !

T'aider a quoi demandais-je A ne pas te planter devant lui ? Que je te le présente ? Je peux pas vraiment faire plus que ça.

Effectivement, Je ne pouvais rien faire d'autre. C'était plus a elle de l'approcher.

Tu devrais peut-être prendre ton courage et allé lui parler Sami' lui dis-je.